chat noir, anecdotes

Avez-vous déjà eu l’impression d’être « chat noir » en plongée ?

3 Commentaires

A force de vous raconter au gré des articles de ce blog des anecdotes d’incidents ou de soucis rencontrés en plongée, je commençais à me dire que j’étais « chat noir » en plongée.

Suis je « chat noir », suis-je un cas isolé… ou pas ?! 

Mais en lisant des échanges sur des forums, j’ai eu envie de creuser un peu.

J’ai lancé un petit appel sur le groupe Dans nos bulles pour accros de plongée, de voyages ou les deux… et certains m’ont fait part de leurs expériences surprenantes et révélatrices…Ré-con-fortantes! Non, je ne suis pas un cas isolé. Je ne suis pas vraiment un chat noir ! 

Je vous remets ici les liens des 3 ou 4 articles où je vous raconte certains de mes déboires personnels.

Une drôle de plongée en Corse, ou quand la sécurité n’est pas au rendez-vous 

Le lâcher-reprise d’embout en plongée, cap ou pas cap ? 

Avez-vous déjà eu le mal de mer pendant une plongée? 

Stuations inconfortables en plongée, mon top 6 

Et oui je l’avoue, en remontant le fil des articles de la catégorie « Anecdotes » (allez-y faites vous plaisir!), il y a encore pas mal d’autres d’exemples.

C’est clair en assez peu de temps je les ai accumulées…

Alors soyez indulgents! Car finalement, en discutant avec certains d’entre vous (et ouf), je ne suis pas du tout le seul chat noir de la palanquée !!!

Un de mes amis plongeur, et quelques autres, se sont prêtés au jeu et m’en ont aussi raconté quelques unes! Qu’ils en soient remerciés ;)! 

 

chat noir

Alors j’enchaîne avec les récits qui m’ont été racontés et vous les livre :

Je vous les retranscris ‘in extenso », encore merci aux plongeurs qui se sont gentiment livrés à l’exercice.

Témoignage de Fred qui pourrait du coup aussi être qualifié de chat noir ! 

« C’était en 76… On était tous nourris au biberon des aventures de Cousteau, et la plongée me démangeait. J’étais à Nice à l’époque, je ne sais pas si tu connais ??? 😉

Mon baptême s’est fait avec le matériel de l’époque, soit bouteille de 12 litres avec les sangles en tissu et la célèbre sous cutale qui donnait lieu à ce superbe mouvement de balancier nécessaire à la faire parvenir entre tes mains pour la fixer au petit crochet spécial qui se trouvait sur ta ceinture de plombs !

Bien sûr, pas de manomètre, pas d’octopus, pas de stab et pas même de Fenzy… On plongeait léger au niveau matériel… et on ne te tenait pas pendant la plongée : tu étais d’office un vrai plongeur puisque le baptême a eu lieu à 18 mètres…

Un baptême pas ordinaire

Comme je te l’ai dit, nous étions tellement passionnés que nous avions appris les techniques avant même d’avoir les quelques sous pour aller faire le baptême et avec la certitude de commencer une progression vers le brevet élémentaire, le premier échelon et le deuxième dans la foulée.

Et heureusement que nous lisions ces livres qui dispensaient la bonne parole pour les exercices de base. Car à ce baptême, mon détendeur s’est bloqué à la profondeur max et j’ai du aller rejoindre mon moniteur pas loin, lui faire le signe du « je n’ai plus d’air » et remonter à deux sur son embout lui aussi unique puisque personne n’avait d’octopus ou de double détendeur. Et là pas question de simulation en se tenant par le petit doigt et de fausse pudeur sur l’hygiène. Bien content de le trouver son embout à partager….

Bref, on est remontés en surface comme ça et c’était un non évènement: « tout le monde va bien ? Tu reviendras la prochaine fois pour qu’on te fasse ton baptême normal » !

 

Chat noir

Témoignage de Patrick… chat noir? Ou victime d’une défaillance technique ? 

Il est survenu après ma reprise en 2017 (parce que pour des raisons matrimoniales j’ai arrêté la plongée en 77 sous régime de chantage « c’est la plongée ou moi »…)

Obtention du sacro saint Niveau 2… Et première plongée en autonomie avec un autre niveau 2 qui faisait figure d’ancien.

L’histoire

Au départ d’un bateau et sur une roche célèbre pour ses congres à moins de 20 mètres… Binôme inconnu avant cette plongée et qui était méritant parce que malgré le mal de mer qu’il a systématiquement et même avec du Mercalm, il est tellement amateur de notre passion qu’il continue à plonger, et finalement n’est bien que dans l’eau: malade avant à l’aller et malade après au retour.

On saute du bateau et on descend faire notre balade qui se déroule nickel chrome… Plein de faune, une visi correcte pour le lieu: on voyait au moins à 2 mètres ce qui est énorme en Atlantique pour ce secteur… On s’apprêtait à remonter et on venait de se concerter sur le sujet, lorsque je vois la tête de mon binôme qui s’environne de bulles en quantité industrielle : son flexible de direct système venait de casser à son point de fixation au premier étage de son unique détendeur… Genre d’incident qu’on ne m’avait pas appris à anticiper à la formation. Dans cet environnement champagne, j’ai mis en bouche mon octopus à ce collègue et fermé le robinet de la bouteille et non sommes remontés tous les deux sur le reste de ma bouteille (on consomme beaucoup plus en situation de vrai stress, il ne restait plus grand chose à la surface, et en tout cas beaucoup moins que les sacro-saints 50 bars….)

Bref, tout s’est bien passé au bout du compte. Il a juste fallu gonfler la stab en surface à la bouche puisque le robinet était fermé et le flexible cassé et vraiment, c’est un exercice intéressant à faire et qu’on devrait nous faire faire une fois au moins car c’est moins facile qu’on ne l’imagine… »

Témoignage de Sonia, chat noir ou victime de son manque de confiance en elle ?

Première plongée autonome après mon N2 en Martinique avec un Martiniquais N3, divemaster et beau gosse. Nathalie, le directeur de plongée, me nomme « chef de palanquée » sur cette plongée (un exercice déguisé). Je suis le briefing avec attention et avec mon beau gosse je me mets à l’eau. Sous l’eau j’ose pas imposer mon autorité devant le pedigree de mon budy. Lorsqu’on est pas d’accord sur la direction, je finis par prendre la direction qu’il m’indique en me disant N3, divemaster et en plus Martiniquais, il doit savoir le chemin.

Au bout d’ un moment je me rends compte que la profondeur augmente, alors qu’à ce stade de la plongée d’ après le briefing on devrait être sur un plateau à 12m. Je ne sais plus où est le bateau… lui non plus ! Il me reste 80 bars, lui un peu plus, je désire tirer le parachute et faire le palier de sécu. On entend un bateau qui est à proximité. Une fois le pallier fini, on attend encore 1 à 2 minutes pour être sûrs que le bateau n’ est plus là. On remonte et là en surface… un bateau de la gendarmerie nautique vient au ralenti vers nous pour voir si tout va bien ! On est sorti très loin de notre bateau de plongée. Les gendarmes nous imposent de monter sur leur bateau pour qu’ils nous ramènent en sécurité au bateau de plongée.


Moralité de cette plongée :

Il s’est avéré que mon beau martiniquais était encore plus nul que moi en orientation !! Petite leçon du DP : ne pas faire aveuglément confiance sous prétexte que l’autre à un niveau plus élevé et m’ imposer quand je suis chef de la palanquée autonome. Depuis, au centre plongée, j’ ai hérité du surnom SNAC ! Ce fût une bonne leçon !

 

chat noir

Témoignage de Jean- Pierre… chat noir ou l’art de bien choisir son matos ?

Il y a quelques temps, je revenais de Maurice où j’avais pris mon équipement et j’étais en 3,5m humide, j’avais pourtant re-desserré mon harnais, mais pas assez, avec la souris + l’étanche. J’étais tellement serré qu’au bout de 30mn on a stoppé la plongée, j’avais trop de mal à respirer convenablement ! Un sketch !

Témoignage d’André… chat noir … ou victime d’un binôme « bas de plafond » ? 

Une de mes premières plongées au-delà de 20 mètres une fois obtenu mon N2. Et, heureusement on le verra plus tard, ma qualif Nitrox !

Epave à 38 mètres, et je plonge avec un MF1 pour binôme, Plus deux autres membres de mon club qui vont former une autre palanquée. L’histoire commence dès le matin quand on se retrouve sur le parking d’une grande surface pour partir tous les 4 en co-voiturage vers la mer située à une quarantaine de kilomètres.

Fatigué

Le MF1 arrive et s’assoit par terre en disant : « je suis crevé… Ça fait 3 jours que je suis invité par des fournisseurs et on a beaucoup fait la fête, mais ça va quand même et je ne voudrais pas louper cette plongée ! ». Ma première erreur est de ne pas avoir suffisamment relevé cette indication de fatigue.

Durant la route, ce MF1 n’arrête pas de critiquer une autre covoiturée qui vient de décrocher son N3, mais pas en club associatif, dans une structure commerciale à Marseille. Structure de haute tenue et sans grand sérieux soit dit en passant…. Le propos était « ces entreprises te donnent n’importe quel diplôme du moment où tu payes ! »

Bref… On charge le matériel sur le bateau et on part pour une navigation d’une heure 30 vers le site de l’épave. Petite précision, je vais plonger au Nitrox 32 et mon binôme à l’air… D’ailleurs, dit- il « ça ne sert à rien de plonger au Nitrox si tu ne fais pas beaucoup de plongées en une semaine, le Nitrox ne sert qu’à être moins fatigué et donc pas utile pour une seule plongée… »

Précision utile pour la suite :

J’utilise pour cette plongée une bouteille 15 litres Nitrox donc avec un robinet adapté aux détendeurs Nitrox. Et afin d’utiliser mon propre détendeur air, je rajoute entre la bouteille et mon détendeur un adaptateur…

Arrivée sur le site. Briefing du DP : « attention, on signale mi bouteille à 110 bars et remontée au maximum à 80 bars. Descente en suivant le boute fixé en bas sur une gueuse avec parachute de remontée et en haut sur une bouée « cerise ». La DP précise « que ce sera elle qui va gonfler le parachute de remontée avant de remonter elle-même avec son binôme. Autres précisions : on saute au klaxon quand le pilote aura amené le bateau près de la bouée cerise, et on ne remonte sur le bateau qu’au klaxon qui signifie que les hélices sont arrêtées. Et la remontée vers la surface se fera en pleine eau sans chercher le boute avec remontée depuis le palier au parachute de palier et le bateau vient nous chercher. »

Pressé… 

Mon binôme nous met une pression pas possible pour être dans les premiers à sauter du bateau. Désagréablement…

Bref, on est prêt, et lui et moi les premiers à la coupée pour sauter. La bouée se rapproche, et …. il saute sans attendre le klaxon et accroche son octopus dans le bordé du bateau et l’arrache au niveau du premier étage…. Je vois ça et je ne saute pas. Ce qui a constitué une erreur : on suit son binôme pour l’aider… Je me le reproche encore !

Il est dans l’eau sur la bouée avec sa bouteille qui se vide et tout le monde a vu le problème. Le bateau revient, et il remonte sans attendre le klaxon, donc hélices tournantes…

Il arrive sur le bateau et demande véhémentement qu’on lui donne un des deux blocs emmenés en secours, et un autre détendeur air puisque le sien est cassé. Pas de détendeur air : il y a un détendeur  secours mais Nitrox. Il me demande de démonter mon détendeur et d’utiliser mon détendeur et j’utiliserai le détendeur Nitrox du club. Comme un bon petit soldat, j’obéis. J’aurais dû tout arrêter car il avait déjà manifesté beaucoup de signes d’inaptitude à cette plongée quand même profonde… Mais bon… Je suis un bon petit soldat et surtout un petit N2 tout neuf quand il est un grand MF1… Deuxième erreur de ma part !

Pendant le démontage / remontage, d’autres palanquées sont larguées et nous nous présentons à la coupée enfin équipés et bons derniers….

Et expéditif…

Nous sautons et il est est très expéditif en surface et durant la descente où nous doublons deux palanquées sur le boute !

Arrivée sur l’épave et tout semble rouler… Sauf quand je lui signale que j’ai 110 bars et qu’il me dit qu’il a… 70 bars !!!!!

Manifestement, il a énormément consommé…. Je lui fais signe « on remonte » et il me confirme par le signe « ok » traditionnel.

Sauf, qu’il cherche le parachute de remontée de la gueuse, file vers lui et lui colle une bonne dose d’air pour lui déclencher la remontée et donc diminue encore sa quantité d’air résiduelle et ce n’était pas son rôle.

Bourde sur bourde

On remonte et ce qui devait arriver arrive. Il continue à surconsommer et à 20 mètres signe « je n’ai plus d’air ». Je lui donne mon octopus. Il me signale qu’il a du palier obligatoire (plongée à l’air) alors que moi je n’ai rien sauf éventuellement un palier de sécurité.

On arrive au palier et je tire mon parachute. Mon binôme n’arrive pas à tenir le palier et je suis forcé de le retenir comme je peux car il nous entraîne vers la surface par l’octopus qui nous relie…

J’apprendrai plus tard que, craignant le froid, il a rajouté une sur-combinaison shorty de 5 millimètres  sans modifier son lestage et il se retrouve avec une bouteille d’air vide donc très légère au palier.

Forcés de remonter en surface, le bateau est heureusement là et il remonte en vitesse (sans attendre le klaxon, donc hélices tournantes) pour récupérer une bouteille et redescendre faire son palier avec un autre plongeur car le DP m’a dit de rester sur le bateau puisque je n’avais pas eu de palier à faire et pour que je lui explique ce qui s’est passé.

Epilogue

Durant son palier, le DP me questionne et sur la base de tout ce qu’il avait entendu, il diagnostique une narcose liée certainement à son état avancé de fatigue !

Mon « ex binôme » remonte sur le bateau, paliers faits, et le DP lui explique ses conclusions de narcose après avoir discuté avec lui. Mon binôme s’énerve : « non, je sais très bien ce qu’est la narcose et c’est ridicule, je suis entraîné et je n’ai pas de risque de narcose à d’aussi faible profondeur »…
Fin de l’histoire… Je vous laisse tirer les conclusions. Les miennes pour mon usage : plonger aussi souvent que possible au Nitrox, et ne pas respecter bêtement les prérogatives liées au grade, si cela t’entraîne vers un accident possible. Et enfin si ton binôme est très fatigué, ne pas plonger avec lui et le pousser à remettre en question son aptitude à plonger.

 

chat noir

Témoignage de Bruno… chat noir ou victime du courant ? 

Un beau dimanche d’été en Atlantique…

Plongée prévue sur une épave à 33 mètres. Gros bateau et nous sommes une vingtaine à bord. Nous arrivons sur site et il y a déjà un autre club avec un semi rigide gros modèle et une quinzaine de plongeurs.

Nous avons le temps et du coup le DP décide que nous partirons en deux groupes successifs de manière à ne pas être trop nombreux sur l’épave en même temps Je suis du deuxième groupe… Et mes binôme et trinôme sont des anciens… Un N3 qui est diplômé depuis bien plus longtemps que moi et un N4/E2, lui aussi plus ancien mais seulement de passage sur ce club…

Plongée planifiée de la manière suivante, comme souvent en Atlantique : gueuse mouillée sur l’épave, et bouée cerise en surface, remontée prévue en pleine eau et parachute largué pour que le bateau vienne nous rechercher. L’autre club a fait pareil, mais nos deux bouées ne sont pas proches l’une de l’autre car notre club a choisi de plonger sur la poupe et l’autre sur la proue de ce bateau, qui fait une centaine de mètres de long…

Sauf que….

Le premier groupe remonte et personne n’a trouvé l’épave ! La gueuse n’est pas au bon endroit et le premier groupe a exploré… du sable !!!!…

Pour éviter de perdre du temps, le DP demande à l’autre club si nous pouvons utiliser leurs cerise, boute et gueuse. Ce qui est accepté.

Nous sautons et nous retrouvons à cinq sur cette malheureuse bouée. Je constate qu’il semble y avoir du courant et nous nous faisons signe que nous descendons. Tout va bien… Jusque là…

Je vois que le boute n’est pas vraiment vertical mais plutôt vers les 45° d’inclinaison, ce qui me confirme le courant. Et je constate que mes collègues sont déjà en train de descendre sans avoir attendu pour un petit « Ok » sous l’eau que j’aime bien et qui permet de voir si les oreilles de tout le monde vont bien.

Des « rendez-vous manqués »

Je suis et j’arrive sur l’épave en voyant mes deux collègues qui partent déjà ! Sauf que…. Ce ne sont pas mes deux collègues… C’est l’autre palanquée de deux qui était en surface avec nous…

Je regarde vers l’avant de l’épave : personne. Vers l’arrière : l’autre palanquée qui s ‘éloigne tranquillement. Vers le haut sur le boute : personne….

Je décide donc d’une procédure perte de palanquée : remontée tranquille en pleine eau, et lâcher de parachute… Tout se passe bien et j’arrive en surface avec encore 180 bars au mano (j’étais parti avec 230 bars de Nitrox 32), et le semi rigide de l’autre club qui vient vers moi. Le pilote et DP me dit « tes collègues sont à 250 mètres d’ici, accroche toi au boute et je te tire vers eux ». Ce qui fut fait… Le bateau nous ramène ensuite à la bouée cerise et j’ai le temps de parler avec mes deux collègues qui ont encore 160 bars dans les blocs. Nous avons décidé de redescendre.

Explication :

Ils avaient trouvé qu’il y avait trop de monde sur le boute et avaient décidé de descendre en pleine eau… avec le courant, bien sûr pas d’épave pour eux au fond !  Lorsqu’ils s’aperçoivent que je n’étais pas là, ils remontent en mode « perte de palanquée ». Les dérives liées au courant s’additionnent et ils se retrouvent en surface à 250 mètres de moi…

La deuxième descente s’est bien passée et tout le monde est resté accroché au boute. La plongée a été plus courte…

A la lecture de quelques uns de ces témoignages, moi je conclus : c’est sportif la plongée en Atlantique!! 

To be continued !!! 

Voila la « moisson d’anecdotes » recueillies jusque-là. Cet article a vocation à être « participatif » et à se construire dans le temps. N’hésitez pas à commenter en dessous ou à m’écrire à l’adresse du site.

Toute expérience est bonne à prendre et à partager. Et croyez- moi sur parole « ça peut servir » ! On lit d’un oeil distrait, et un jour sous l’eau on y repense ! 

Lire des témoignages m’a personnellement permis à plusieurs occasions d’anticiper quelques soucis. Et à bien y réfléchir en fait on est pas « chat noir » en plongée. Il y a souvent des incidents qu’on doit juste savoir anticiper et gérer ! C’est la morale de cet article et c’est le fruit de ma petite expérience ! Et vous ? Qu’en pensez- vous ?  

 

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3 Commentaires. En écrire un nouveau

  • christinenaturo
    25 janvier 2021 23 h 08 min

    Et bien, pas de routine dans la vie de plongeur

    Répondre
  • ça me fait penser aux astronautes : pendant leurs heures d’entraînement, ils sont soumis à des tests pour apprendre à faire face à toute situation, sans stress et sans peur.
    Les épreuves servent à être éprouvé. Pour tous les témoignages, ça s’est bien passé, c’est ça l’aventure !

    Répondre

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